« d’ici et d’ailleurs » 3 au 27 avril 2012, à Claix
Dans certaines séries d’œuvres précédentes (par exemple, celles de la pyramide de Mazan ou de la Sablière de Bédoin - Vaucluse), j’ai joué sur l’ambiguïté que peut présenter l’image photographique.
L’air et l’eau créèrent des formes aléatoires et éphémères que je m’appropriais. Elles prenaient un certain sens grâce à l’absence de repères…
Dans ma façon de « voir » les choses, les paysages ou les objets, un aller-retour rapide se produit entre l’œil du photographe, son imaginaire et l’appareil, outil de « captage » et de transmission. Les images seront utilisées telles quelles, très peu de retouches, sauf, parfois, un léger recadrage.
Ainsi se crée une autre réalité, … un autre univers imaginaire se révèle…
Temps et espaces deviennent incertains, improbables…
C.C CLAIX, le 20-02-2012